Verpackung

Bestimmt haben Sie sich auch schon die Frage gestellt: „Wie gelingt es einer älteren allein stehenden Dame den maschinell angebrachten Drehverschluss einer Mineralwasserflasche zu öffnen?“ Es braucht eine Zange. Sie erinnern sich, Sie wollten eine Tafel Schokolade auspacken. Es gelang nicht ohne dass die Tafel in Brüche ging. Und die spanischen Nüsschen im verschweissten Aluminiumsack? Beinahe die Hälfte lag verstreut im Wohnzimmer am Boden. Gottlob. Von meinem Boden kann jedermann essen. Öffnen Sie nie eine Bierbüchse oder ein Kaffeerahmkübelchen wenn Sie eine neue Bluse (oder eine Seidenkrawatte) tragen. Der Inhalt landet mit Gewissheit irgendwo an Ihrem Körper. Die TV-Zeitschrift aus der milchigen Tüte zu packen. Eine CD aus der Zellophanhülle zu klauben. Ein Kinderspiel. Verglichen mit dem Aufreissen der Lasche einer Blechbüchse voller Sardellen. Kaum ist sie halb offen sind Ihre Hände geölt. Aus dem Daumen der linken Hand strömt Blut. Rasch ein Heftpflaster. Probieren Sie einmal die praktische Einzelverpackung zügig zu öffnen. Es ist eine Qual. Eine Blutspur zieht sich von der Küche ins Badezimmer. Und natürlich Blutflecken auf die helle Sommerhose. Ich will jetzt nicht auch noch beschreiben was passiert wenn Sie eine Büchse gemahlenen Kaffees, der unter Vakuum steht, aufschliessen. Meine neue Zahnbürste liegt seit drei Wochen immer noch in der Karton/Hartplastikverpackung. Stets vergesse ich die Gartenschere aus dem Geräteschuppen zu holen um sie aufzuknacken.
Die Hersteller denken nur an die perfekte produktive Fabrikation. Oder an die kostengünstigste Lagerhaltung. Oder an die und kaufanregendste beste Präsentation ihrer Artikel im Supermarkt. An den Verbraucher, den Konsumenten, den Kunden denkt kein Mensch. Und doch ist er so wichtig. Damit diese wichtige Person im Produktionsprozess nicht in Vergessenheit gerät, sollte man den Konstrukteur dazu verdonnern, im Sonntagsgewand und ohne Unterlass, tausend Rahmkübelchen zu öffnen. So vielleicht wird er bei der Entwicklung der nächsten Verpackung an die Hausfrau denken. Sie hat doch ein Recht auf die perfekte Verwendung ihres Einkaufs.

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Emballage

Vous vous êtes sans doute déjà posé cette question: “Comment une dame d’un certain âge, vivant seule, peut-elle ouvrir la capsule d’une bouteille d’eau minérale vissée mécaniquement?” Il faut une pince. Vous vous souvenez du jour où vous vouliez déballer une tablette de chocolat. Impossible sans casser la plaque. Et les cacahouètes dans le sachet soudé, en aluminium? Presque la moitié du contenu répandue par terre au salon. Heureusement. Chez moi on peut manger à même le sol. N’ouvrez jamais une boîte de bière ou un petit récipient de crème à café si vous portez un chemisier neuf (ou une cravate en soie). Le contenu finit à tous les coups quelque part sur vos vêtements. Evitez de sortir le programme de télévision de son enveloppe de couleur laiteuse. D’extraire une CD de son emballage en cellophane. Un jeu d’enfant. Comparé à l’ouverture d’une boîte d’anchois en arrachant le couvercle par sa languette. Ouvert d’à peine la moitié, vos doigts seront plein d’huile. Le pouce de la main gauche saigne abondamment. Vite un pansement. Essayez donc de le sortir efficacement de son emballage individuel. C’est un tourment. Le sang laisse une trace depuis la cuisine jusqu’à la salle bain. Et bien sûr des taches de sang sur le pantalon d’été en tissu clair. Je ne vais pas ajouter la description de ce qui se passe lorsque vous ouvrez une boîte de café moulu sous vide. Ma nouvelle brosse à dents traine depuis trois semaines dans son emballage en carton/plastique rigide. J’oublie toujours d’amener le sécateur de la cabane à outils pour le casser.
Les fabricants ne pensent qu’à la production parfaite et efficace. Ou le stockage économique. Ou la présentation la plus attirante de leurs produits au supermarché. Personne ne pense à l’utilisateur, le consommateur. Et pourtant il est tellement important. Pour qu’il ne soit pas oublié, il faudrait condamner le constructeur à ouvrir mille récipients de crème à café, d’affilée et en tenue de dimanche. Ainsi il pensera peut-être à la femme au foyer quand il développera le prochain emballage. Elle a bien droit à une utilisation parfaite de son achat. 

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